Accueil
Cours, horaires & tarifs
Contact & plan d'accès
Compétitions & boxeurs
Kick, K1 & Full
Boxe Thaï
Grappling / Pancrace
Self-Défense Gym-Boxe
Boxe éducative Jeunes
Académie Pieds-Poings
Stages & Photos
© 2009
Grappling/Pancrace

AVEC VOTRE INSCRIPTION = COURS TOUS LES SOIRS DU LUNDI AU VENDREDI

 

Percussion - Projection - Immobilisation

agenda des compétitions : cliquez ici

 

2 cours Grappling     adultes Loisir/Compétition :  

Mardi 19h30 / 21h00 & Vendredi 20h30 / 22h

Patrice "Patou" Bourny vice-champion de France et d'Espagne, finaliste de la 2ème Coupe de Grappling

 

Licencié(e)s Thaï-Pancrace FFSC-DA

Licencié(e)s Grappling FSGT : pas d'accès Internet

 

Le Grappling est un sport de combat apparenté à une forme de lutte, où les percutions sont prohibées.

Le but est d’attraper, tenir, contrôler son adversaire après une éventuelle projection, puis à tenter de le faire abandonner grâce à des techniques de luxation et d' étranglement et cela sans utiliser le moindre coup. Le grappling peut être pratiqué en position debout (le stand-up grappling)  ou au sol (le ground grappling) mais c'est le combat au sol qui est le plus communément appelé Grappling.

 

Ce sport de combat tient donc une place essentielle dans la pratique du Mix Martial Arts (MMA) et peut également être utilisé comme moyen d’autodéfense.

 

Le grappler est un pratiquant qui utilise principalement la technique du grappling.

Il se différencie d’un striker qui lui utilise, en plus, des techniques de frappes et de percussions, comme les coups de poings et de pieds.

 

Au Punching Carcassonne, le Grappling se pratique vêtu d’un short et d’un T-shirt moulant et pieds nus.

 

 

Le

Percussion - Projection - Immobilisation

C’est pour permettre à ses licenciés de combattre sur les deux plans que le Punching propose d'associer la pratique du Grappling à celle de la Boxe Pieds-Poings : un grappler peut ainsi participer à une rencontre de Pancrace.

 

Le Pancrace signifiant "toutes les forces" est à son origine une forme de combat à mains nues développée en Grèce plusieurs siècles avant notre ère. Le pancrace était un sport olympique sous l’antiquité grecque qui combinait les techniques de boxe et les techniques de lutte.  Les pancratiastes s’affrontaient dans des combats très rudes jusqu’à l’abandon et parfois même la mort. Athlètes et combattants complets, ils étaient considérés comme les dieux de l’arène.

Le Pancrace ou Pankration fut introduit aux Jeux Olympique en 648 av. J.-C. lors de la 33ème Olympiade. On pense que le pancrace fut développé dans un souci de survivre face à une agression ennemie, il constituait un exercice indispensable à la formation des guerriers.

Pour arriver à ses fins, tous les stratagèmes pouvaient être employés sauf ceux pouvant mettre volontairement en jeux la vie des combattants.  Coups de pieds, de poings, de genoux, de coudes ou de tête pouvaient être utilisés. Le combat se poursuivant au sol les projections, les clefs de toutes sorte et les étranglements étaient couramment employés, néanmoins il était interdit de mordre ou de mettre les doigts dans les yeux de son adversaire.

Le Pancrace avait deux formes:

- Le Kato Pankration, dans lequel la compétition continuait après que les adversaires soient tombés au sol.

- Le Ano Pankration, qui était employé lors des préliminaires et qui interdisait la poursuite du combat au sol.

 

Un peu oubliée, cette discipline sort de l'oubli dans les années 1950 en France sous l'impulsion de Sylvain Salvini, dirigeant de la Fédération de Boxe française. En 1970, un Américain d'origine grecque codifie le Pancrace Moderne. Et ce n'est qu'en 1993 qu'au Japon se crée la World Pancrase Create Inc. qui organise la première rencontre du genre.

 

Aujourd'hui, le Pancrace (ou Pancrase en version anglo-saxonne) est une synthèse de formes de luttes et de frappes pieds-poings… sous sa forme moderne, le pancrace est un sport de combat complet.

 

Un combat de Pancrace consiste à :

 

- percuter son adversaire avec toutes les parties du corps autorisées pendant la station debout.

Un combattant n'est plus considéré dans la station debout dès qu’une partie de son corps autre que ses deux pieds touche le sol (pour percuter son adversaire, un combattant doit lui aussi être debout)

- lutter au corps à corps debout, saisir et projeter au sol par tous les moyens autorisés;

- poursuivre le combat au sol au moyen des techniques d’immobilisation ou de soumission autorisées. Aucun coup n’est permis au sol.

 

Techniques interdites :

- la frappe au sol, dès qu’une partie du corps de l’adversaire autre que ses deux pieds touche le  sol ;

- la frappe de l’adversaire en étant soi-même au sol ou dans une position autre que la station debout, des parties du corps de l’attaquant autres que ses deux pieds touchant le sol ;

- les frappes et pressions dans les yeux, la gorge, les parties génitales, la nuque ou la colonne vertébrale ;

- mettre les doigts dans le nez, les yeux, la bouche de son adversaire ;

- les clés et torsions de doigt ou d’orteil ;

- les clés de colonne vertébrale.

 

visitez le site du Pancrace FSGT et décrouvez infos, tecniques et vidéos : cliquez sur l'image


 

 

DRISS ET SERGE S'AMUSENT...

 

Jonathan et Frankie

 

L’objectif du Punching Carcassonne

est de permettre aux licenciés du Club, hommes ou femmes,

de s’entraîner et de progresser et, pourquoi pas,

de combattre lors de compétitions

non seulement en Grappling,

mais aussi en Pancrace,

en combinant la pratique du combat au sol

et de la Boxe Pieds-Poings.

1  2  3  4

 

 

POUR INFORMATION

Le

Le MMA (Arts Martiaux Mélangés en français) est unéé terme qui désigne un style de combat interdisciplinaire et réglementé qui oppose deux adversaires utilisant toutes les techniques issues des sports de combats, un boxeur pouvant affronter un lutteur par exemple.

 

En France, le MMA est autorisé dès l’instant que le combattant est en sécurité, les coups de pieds ou de poings au sol restant interdits.

 

On retrouve dans le MMA :

- le combat debout et à distance (comme ce qui se fait en Kick Boxing ou en Boxe Thaï)

- le combat debout rapproché (emploi de techniques de la Lutte et du Judo telles que les saisies au corps et les projections)

- le combat au sol qui comprend à la fois des techniques de lutte, de percussion comme en Boxe et d’immobilisation comme en Grappling ou en Judo.

 

 

 

 

pour information :

 

LE COMBAT LIBRE

 

Les principales formes de combat libre présentes en France

Le combat libre est un sport de combat complet associant pugilat et lutte au corps à corps, dans lequel les deux combattants peuvent utiliser de nombreuses techniques telles que les coups de pied, de poing, de genou, de coude, des techniques de projections et de « soumission » (grappling) et certaines percussions au sol (techniques limitées dans certaines fédérations). On distingue trois phases en combat : le face à face, le corps à corps et le sol.

 

 

 

POURQUOI ?

Dans les arts martiaux traditionnels ou modernes (Judo, Taekwondo, Kung-Fu, etc…) on parle toujours d’une notion d’efficacité mais pour certains le discours est tronqué. Ces arts martiaux ne seraient pas adaptés à la réalité des situations. Le fait qu’au début du combat libre moderne, des combattants issus de disciplines très diverses se soient affrontés, sumos contre boxeurs, lutteurs contre karatékas, etc… a permis de voir ce qui fonctionnait ou pas dans les arts martiaux. D’où ce retour aux sources.  

 

DEFINITION DU COMBAT LIBRE

Le "combat libre" est considéré comme étant un terme générique pour définir une forme de combat à mains nues permettant l'utilisation des techniques de frappes, de projections et de « soumission» (GRAPPLING : clé, blocages, etc..) debout comme au sol.

En évitant le vocabulaire humiliant ("soumission") et l'anglissisme permanent, on peut définir le combat libre par Percussion, Projection et Immobilisation.

 

  

 

En France, le combat libre est autorisé sous réserve que le combattant soit en sécurité. Lorsque des compétitions sont organisées, des règles bien précises sont mises en places : pas de frappes des poings au visage, pas de torsions lors des "soumissions", pas de frappes au sol car la loi française interdit de frapper un homme à terre... Sont donc interdits les combats ou les coups (pieds ou poings) sont portés a un adversaire au sol.

 

MMA OU FREEFIGHT ?

Sous la dénomination française de Combat libre, on regroupe généralement les disciplines suivantes :

- Le Free-fight est la traduction anglophone désignant le "combat libre".

- Le Mixed Martial Arts, ou Arts Martiaux Mélangés en français ou encore MMA, permet de définir un nouveau style de combat à part entière, aux influences multiples.

Le MMA s’est réglementé, les coups vicieux ont disparus et le port de gants est obligatoire sur les 5 continents, la violence est canalisée, comme tout autre Sport de Combat, contrôlée par des arbitres, médecins et sportifs professionnels.

 

Arts Martiaux Mélangés, quelques sites :

 

http://www.mma-france.net/

 

http://www.ikusa.fr/

 

http://www.fightlife.fr/

 

 

Pour beaucoup, il ne faut donc pas confondre le MMA et le freefight.

- Le premier, ayant une réputation positive, fut créé dans un but de la recherche de l'art ultime, savoir s’il y avait une discipline qui pouvait dominer toutes les autres. Certaines organisations organisèrent des combat avec des règles qui permettaient à des combattants de différents arts martiaux et sports de combat de pouvoir s'exprimer comme le Pride.FC qui arrive à diversifier les origines martiales de ses combattants : par exemple, on peut retrouver un champion du monde de Sambo (Fedor), un champion olympique de Muay thai (Silva), un champion olympique de lutte greco-romaine (Henderson), un combattant du shooto (Gomi). Cette diversité se voit sur le ring, les affrontements sont très différents.

 


- Le freefight  quand à lui, a souvent, en 1993, consisté à faire combattre 2 gars dans une cage sans gants, sans arbitre, sans limite de temps. On avait éliminé le plus de règles possible pour avoir un "spectacle" plus intense et qui n'a rien avoir avec l'esprit sportif. D’où son interdiction en France (cf. Clovis Cornillac qui incarne Scorpion dans des combats de freefight, interdits en France.). Le premier Ultimate Fighting a lieu en 1993. En France, la médiatisation débute deux ans après axée au départ sur l’absence totale de règles.

En France, le ministère de la Jeunesse et des Sports est attentif aux critiques des fédérations de judo et de karaté qui refusent d’autoriser des rencontres de Free Fight. Le CSA a interdit aux télés la diffusion des tournois considérant qu’elle serait  «susceptible de nuire gravement à l’épanouissement physique, mental ou moral des mineurs». Cette position provient des premiers Ultimate Fighting Championship : il est clair qu'on ne peut pas autoriser une pratique qui se veut sans règle. Il s'agissait de 1993 et des USA., aujourd'hui, les choses évoluent et heureusement dans le bon sens.

Jugé donc trop violent, le combat libre tel qu'il est pratiqué dans d'autres pays reste interdit en France. Certaines fédérations, pour ne pas être hors la loi, organisent cependant des combats aménagés (pugilat debout et lutte au sol) comme le Tournoi du Soleil, les Ceintures d'Or, etc...

 

 

Voici un extrait de l'article paru sur le free fight dans le journal Le Monde.fr du 25/05/2006 :

Frapper un homme à terre ? Une idée inacceptable au pays de Coubertin. Pour justifier son interdiction, le ministre des sports, Jean-François Lamour, s'appuie sur une recommandation du Conseil de l'Europe de 1999, estimant que "la violence et les actes barbares et sauvages commis au nom du sport sont dénués de valeur sociale dans une société civilisée qui respecte les droits de l'homme". Le veto a été étendu, début 2006, aux chaînes de télévision par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), lequel considère que la retransmission est "susceptible de nuire gravement à l'épanouissement physique, mental ou moral des mineurs". Eurosport et Multivision ont ainsi dû mettre un terme à leurs programmes.

 

Cyrille Diabaté sourit. Un barbare, lui ? "Notre sport n'est pas de la bagarre de rue", dit-il. Et le Snake d'expliquer que le free fight n'est pas aussi violent qu'il en a l'air. Que la variété des techniques (frappes, projections, clés...) réduit le nombre d'impacts. Qu'il est possible de gagner une rencontre sans asséner un coup. Ou encore que l'arbitre doit arrêter le combat dès qu'un participant n'est plus en mesure de se défendre. Quant à ces fameux coups donnés, d'une position à genoux sur un homme à terre, leur puissance est moindre que s'ils étaient donnés debout, avec tout le poids du corps. À l'entendre, sa discipline serait "de la rigolade" comparée à la boxe professionnelle où il n'y a qu'une seule cible à atteindre - la tête. "Regardez-moi, lance-t-il. J'ai 32 ans, je m'exprime normalement, mon visage n'est pas marqué."

Le free fight se flatte d'un faible nombre d'accidents graves - un mort recensé en treize ans - et d'être autorisé dans un pays comme la Suède où la boxe professionnelle est interdite.

 

La protection des combattants s'est par ailleurs améliorée depuis la sauvagerie des premières années. Certains coups ont été supprimés, des catégories de poids et des tests médicaux ont été instaurés, des contrôles antidopage sont désormais diligentés dans les grands tournois où d'imprudents consommateurs de stéroïdes ont été suspendus.

 

Qu'en est-il, en revanche, dans les compétitions de seconde ou troisième zone qui foisonnent de manière anarchique en Asie ou en Europe ? Ici, ni encéphalogramme ni test HIV et encore moins de contrôle antidopage. "Un accident quelque part et l'interdiction que nous avons en France sera étendue à toute l'Europe", redoute Jérôme Le Banner, chef de file français, sous le nom de Geronimo, des "nouveaux gladiateurs".

 

Le ministère des sports n'a évidemment aucun moyen d'interdire les combats à l'étranger. Sachant que les techniques utilisées sont celles de sports dûment réglementés, les autorités ne peuvent pas non plus interdire les entraînements en France. Paradoxe qui aboutit à la naissance, en toute légalité, de plusieurs clubs français consacrés au free fight. Certains utilisent même des cages. Là encore, il est difficile de s'y opposer. Quand un fonctionnaire du ministère a demandé à Olivier Ribet, au Havre, de démonter la cage de sa salle de gym, le professeur d'arts martiaux a répondu : "De quel droit ? Montrez-moi une loi qui interdise cela." Le fonctionnaire est reparti, la cage est restée. Mais la salle a dû fermer, plus tard, pour raisons financières. Pourquoi des cages, au fait ? Pour le spectacle. Mais pas seulement. "Cela réveille des instincts primaires. Moi, je me sens bien dedans", confie Jean-François Lenogue, un autre free fighter français, comédien dans la vie.

 

"Se battre dans une cage, cela n'apporte rien sur le plan sportif. C'est l'apologie de la violence", déplore-t-on dans l'entourage de M. Lamour.

 

Pas question, partant de là, d'autoriser une activité qui risquerait de proliférer dans des zones où la violence est déjà largement enracinée, comme en banlieue.

Frédéric Potet Article paru dans l'édition Le Monde.fr du 21.05.06

 

 

UN PEU D’HISTOIRE

Sport considéré comme récent, le combat libre existe en réalité depuis longtemps et on en retrouve des traces dans de nombreux arts anciens.

La lutte

La lutte gréco-romaine est populaire en Europe et pratiquée dans le monde entier. Les lutteurs commencent leur assaut en position debout et essaient soit d'envoyer leur adversaire au tapis, soit de recourir à des prises pour le faire tomber. Les combattants doivent porter toutes leurs prises au-dessus de la ceinture, l'usage des jambes étant interdit. Croche-pied et plaquages sont également interdit.

Dans la Grèce antique, les compétitions de lutte, brutales, étaient le point culminant des jeux de l'Olympe. Les romains, qui firent de nombreux emprunts à la lutte grecque, éliminèrent son caractère brutal, d'où le nom de lutte gréco-romaine.

 

Lorsque les Jeux Olympiques refirent leur apparition à Athènes en 1896, la lutte fut considérée comme tellement importante d'un point de vue historique qu'elle devint un élément central des Jeux. Personne n'avait oublié les récits de corps huilés combattant sur le sable et les compétitions de lutte datant de 708 av. J.-C. La lutte gréco-romaine était perçue comme la vraie réincarnation de la lutte grecque et de la lutte romaine de l'Antiquité. Huit ans plus tard, les officiels olympiques décidèrent d'ajouter une autre discipline, au passé certes moins riche et moins noble que son aînée mais jouissant d'une énorme popularité : la lutte libre. Dans les compétitions de lutte gréco-romaine, aujourd'hui dominées par la Fédération de Russie, les lutteurs ne peuvent attaquer qu'avec leurs bras et le haut de leur corps. Dans la lutte libre, ils peuvent aussi utiliser leurs jambes et tenir leur adversaire au-dessus ou en dessous de la ceinture.